XIII Les Six Compagnons et l'émetteur pirate

Date de première parution : 1968

Édition 3

Illustrations de Robert Bressy

Auteur : Paul-Jacques Bonzon

Édition 3
Année de parution : 1997

Chronologie

L'histoire débute à la mi-juillet.

Mady arrive 10 jours après les Compagnons

La résolution de l'énigme et l'arrestation de la bande ont lieu le 13 août.

Les personnages

Un des voisins de Gnafron est chauffeur dans une entreprise de transports routiers. Il va emmener la bande jusqu'à Lunel, à 23 km de Port-le-Roi.

Le Tondu a un béret basque sur la tête.
Il ronfle souvent.

Tidou a une carte (de France ?).

Nom de Mady : Charvet.
Ses parents ont acheté une voiture au printemps (ils ne sont donc pas si pauvres, même si elle a fait un gros trou dans le budget).
La grand-mère de Mady habite à Vaugneray (Vaugneray est un minuscule village situé à vingt kilomètres de Lyon, n'ayant même pas une rivière).
Le père de Mady travaille à l'OTL, c'est-à-dire Omnibus et Transports de Lyon (et non Organisation Terroriste du Littoral).
Mme Charvet a horreur du camping.
M. Charvet est receveur d'autobus.
M. et Mme Charvet ont loué une tente (moderne).
Le père de Mady adore bricoler. Il s'était fabriqué un petit poste émetteur 2 ou 3 ans auparavant.
On sait que le vélo de Gnafron est trop petit pour lui. Mady est petite parce qu'il est juste à sa taille.

Le nom de Tidou est Aubanel (comme le boulanger de Reillanette dont le fils, Frédéric Aubanel, est le meilleur ami de Tidou. Bizarre ! (voir I)). Son grand-père tenait le bureau de tabac de Reillanette.
Quand il claque la langue contre le palais, Kafi sait qu'il doit aboyer.

Gnafron ronfle rarement.

La mère de la Guille est aux petits soins pour lui. P 47 : il est dit qu'il s'appelle Robert (comme dans IX).
Il appelle le "marabout" le "cirque".
Il n'a pas le pied marin (il est sujet au mal de mer).

A noter

C'est la seule histoire où l'on utilise le nom de Mady (l'auteur l'utilise de façon très régulière dans l'histoire puis ne l'utilise plus dans les livres suivants).

Les Compagnons voyagent sans papiers d'identité.

La bande a acheté une tente au marché aux puces.
Du type "marabout", elle ne leur avait pas coûté cher, mais elle était lourde (au moins 15 kilos). En forme de cône, elle est difficile à monter (ils se sont entraînés sur le Toit aux Canuts).

La 5° ou 6° nuit un orage fit tomber le "marabout". Tidou, Gnafron et Kafi se réfugièrent sous la caravane voisine, habitée par deux Parisiennes (leur voiture est immatriculée à Paris).

Le père de Mady a pu déplacer ses vacances de septembre en août.

Dédicace

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Bonus

Il semblerait que Port-le-Roi n'existe pas (par contre Lunel existe bel et bien).

D'après un lecteur attentif originaire de la région, Port-le-Roi serait la contraction de Grau-du-Roi (station balnéaire près d'Aigues-Mortes, Grau signifiant canal ou bande de terre entre la mer et la lagune en provençal, catalan, occitan, ...) et Port-Camargue (quartier résidentiel et touristique du Grau-du-Roi).
Ceci est prouvé par la page 8 (édition 3) où il Tidou dit que Port-le-Roi est situé près d'Aigues-Mortes (voir plan ici).

Pour plus d'informations sur le Grau-du-Roi, cliquez ici.

 

 

 

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